Travaux d'agrandissement du
Canal Latéral à la Loire (fin XIXe siècle)

Aménagé sur la rive gauche de la Loire, le Canal latéral à la Loire couvre 196 km. Diverses infrastructures ponctuent son tracé, en particulier à proximité des villes qu’il approche ou traverse.

Le Parcours cartographique

Sélectionnez un lieu sur la carte, puis naviguez au sein des photographies en cliquant sur les icônes rosées.

Vous pouvez afficher la signification de ces icônes à tout moment lors de votre navigation via l’onglet « Outils ».
La flèche violette à droite de la visionneuse permettra de sélectionner directement une autre photographie à afficher.

Le Parcours thématique

Accédez à un mode de visite plus standard via l’onglet « Thèmes ».
Vous y trouverez toutes les photographies du Parcours cartographique, classées par lieux, ainsi que des suppléments !

Parcours thématique

Le Parcours cartographique autrement

Retrouvez, classées par lieux, les photographies du Parcours cartographique. Cliquez sur :

  • les flèches pour afficher ou cacher les vignettes.
  • une vignette pour agrandir l’image.
  • le nom du lieu pour rejoindre la rubrique du Parcours cartographique concernée.

Suppléments

Toutes les photographies ne vous ont pas encore été présentées !

Découvrez au bas de cette page d’autres lieux et infrastructures immortalisés par le Service des Ponts et Chaussées.

Tous n’ont pas encore été identifiés :

Vous avez des informations supplémentaires sur le sujet d’une photographie ?
N’hésitez pas à nous contacter.

Auxerre

Jouxtant le Canal latéral à la Loire à Decize et s’étendant de Saint-Léger-des-Vignes à Auxerre, le Canal du Nivernais permet de relier la Loire (et le Canal latéral à la Loire) à l’Yonne.

Débuté en 1784 et mis en service en 1842, long de 174 km, il est partiellement modernisé selon le gabarit Freycinet* à la fin du XIXe siècle. Originellement construit selon le gabarit Becquey*, moins long et moins profond, deux tronçons à ses extrémités sont agrandis, dont celui entre Sardy-lès-Epiry et Auxerre (on parle d’un gabarit « faux Freycinet », avec des écluses de 39 m x 5,20 m, un mouillage de 1,60 m et une hauteur libre de 2,60 m).

A Auxerre, de nombreux ponts permettent de franchir l’Yonne, qui traverse la ville.
Le principal, le pont Paul Bert, d’origine romaine, a plusieurs fois été reconstruit ou réparé. Il a notamment été élargi et muni de trottoirs au milieu du XIXe siècle par l’administration des Ponts et Chaussées (1857). En 1888, le pont prend le nom de « Paul Bert », tandis qu’une statue de l’homme politique est érigée en son milieu.
A proximité, le pont de Gien est un ouvrage métallique ouvrant le passage à la ligne de chemin de fer Auxerre-Gien au-dessus de l’Yonne entre 1885 et la fin des années 1950.

*Gabarit Freycinet : norme régissant la dimension minimale des écluses de certains canaux (et par conséquent des bateaux y naviguant), afin d’harmoniser la navigation fluviale : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage de 2,20 m, hauteur libre de 3,70 m. (Loi Freycinet : 1879. Elle donne suite à de nombreux travaux de modernisation). Il s’agit aujourd’hui du gabarit européen de classe I.

*Gabarit Becquey : Gabarit uniforme minimum exigé pour les écluses du réseau navigable français par une loi de 1822 : écluses de 30,40 m × 5,20 m, mouillage de 1,60 m, hauteur libre de 3 m. Il est supplanté par le gabarit Freycinet en 1879.

Pont-canal de Briare

Le Canal latéral à la Loire, après une traversée de 196 km, prend fin à Briare, où il rejoint le Canal de Briare. Construit le long de la rive gauche de la Loire, il doit la traverser pour atteindre Briare. Jusqu’en 1896, cette traversée était effectuée à Châtillon-sur-Loire, par un chenal* vulnérable aux crues.

Au moment de la transformation du Canal de Briare faisant suite à la loi Freycinet* (imposant une mise à profondeur de 2,20 m), décision est prise de résoudre dans le même temps le problème de la traversée à Châtillon-sur-Loire. Elle se situera dorénavant entre Saint-Firmin-sur-Loire et Briare.

Alors qu’un ouvrage en maçonnerie aurait nécessité des arches très hautes (afin de ne pas constituer un barrage lors des crues) et compliqué la construction, l’idée retenue est celle d’un pont-canal avec bâche métallique reposant sur des piles en maçonnerie. Ces dernières, au nombre de 14, ont une forme en proue de bateau favorisant le passage des crues. L'ingénieur Gustave Eiffel est en charge de cette partie maçonnerie.

Innovation pour l’époque : le Pont-canal est éclairé par 64 candélabres et 8 lampes fonctionnant à l’électricité (et non au gaz) grâce à deux turbines alimentées par une prise d’eau devant la maison éclusière de gauche.

*Chenal : partie du lit de la rivière où la profondeur d’eau est suffisante pour la navigation.

*Gabarit Freycinet : norme régissant la dimension minimale des écluses de certains canaux (et par conséquent des bateaux y naviguant), afin d’harmoniser la navigation fluviale : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage de 2,20 m, hauteur libre de 3,70 m. (Loi Freycinet : 1879. Elle donne suite à de nombreux travaux de modernisation). Il s’agit aujourd’hui du gabarit européen de classe I.

Usine élévatoire de Briare

La construction du Pont-canal de Briare entraînant l’élévation et le prolongement du bief* de la Gazonne (bief de partage*), les besoins en eau sont plus importants. De telle sorte que les étangs-réservoirs et rigoles qui jusque-là alimentaient le Canal de Briare ne suffisent plus. De plus, en période de sécheresse, les réservoirs vides ne sont d’aucun secours. Se fournir directement dans la Loire, située plus bas, permettrait de résoudre le problème et ainsi de répondre à l’augmentation de trafic fluvial prévue, à savoir 10 000 bateaux par an.

Entre 1894 et 1895 est donc construite une usine élévatoire, à proximité du Pont-canal alors encore en chantier. Elle est chargée de puiser l’eau de la Loire et de la propulser jusqu’au bief. Durant ce processus, l’eau subit une élévation de 43 m de haut, et peut subir un débit de 800 L/s.

*Bief : section d’un cours d’eau (ou canal) entre deux écluses, chutes d’eau ou rapides.

*Bief de partage : bief situé sur la ligne de partage des eaux lorsque le canal franchit un col (dans un site vallonné ou montagneux).

Châtillon-en-Bazois

Le bassin de la Loire est relié à celui de la Seine par le Canal du Nivernais. Celui-ci, joignant Auxerre à Saint-Léger-des-Vignes, rejoint la Loire et son Canal latéral à Decize.

Comme le Canal latéral à la Loire, le Canal du Nivernais subit des modifications lors de l’adoption de la loi Freycinet* à la fin du XIXe siècle : les extrémités du canal (de Saint-Léger-des-Vignes à Cercy-la-Tour et de Sardy-lès-Epiry à Auxerre) sont modernisées et agrandies, tandis que le reste du canal conserve les dimensions d’origine (gabarit Becquey*).

Au commencement (1784), le canal était prévu pour l’acheminement du bois du Bazois (côté Loire) vers Paris, d’où l’importance du site de Châtillon-en-Bazois, à partir duquel était rejoint le système de flottage existant depuis les pentes du Morvan.

*Gabarit Freycinet : norme régissant la dimension minimale des écluses de certains canaux (et par conséquent des bateaux y naviguant), afin d’harmoniser la navigation fluviale : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage de 2,20 m, hauteur libre de 3,70 m. (Loi Freycinet : 1879. Elle donne suite à de nombreux travaux de modernisation). Il s’agit aujourd’hui du gabarit européen de classe I.

*Gabarit Becquey : Gabarit uniforme minimum exigé pour les écluses du réseau navigable français par une loi de 1822 : écluses de 30,40 m × 5,20 m, mouillage de 1,60 m, hauteur libre de 3 m. Il est supplanté par le gabarit Freycinet en 1879.

Traversée à niveau de Châtillon-sur-Loire

Etabli sur la rive gauche de la Loire, le Canal latéral à la Loire doit la franchir pour se raccorder au Canal de Briare (situé sur la rive droite). Depuis 1838, la traversée était effectuée à Châtillon-sur-Loire, dans le lit-même du fleuve, dans lequel on pénétrait grâce à l’écluse de Mantelot et d’où on sortait au niveau de l’écluse des Combles, en rive droite.

Cette « traversée à niveau* » est considérée comme le point noir du Canal latéral à la Loire du fait de ses dangers et de sa dépendance aux événements naturels tels que les crues. On considère qu’en moyenne dix naufrages avaient lieu chaque année, tandis que les bateaux devaient parfois patienter plusieurs semaines avant que les conditions de navigation soient favorables à la traversée.
En 1896, la construction du Pont-canal de Briare résout le problème, permettant une traversée sécurisée du fleuve. La traversée à niveau de Châtillon-sur-Loire n’est donc plus utilisée.

A l’extrémité de son chenal* se trouve le pont suspendu de Châtillon-sur-Loire. Sa construction, en 1841, avait permis le désenclavement de la ville.
L'ouvrage, de 350 m de long et de 7 m de large, est constitué de quatre travées au tablier* de bois reliées par trois piliers.

Remarque : Le pont suspendu est de nombreuses fois détruit puis reconstruit durant les XIXe et XXe siècles. Le tablier est aujourd’hui métallique, et les éléments de suspension, les chevalets et les câbles sont constitués de matériaux récents.

*Traversée à niveau : ensemble d'ouvrages formant un dispositif permettant à un canal de traverser une rivière dans son lit-même. En général, une écluse permet au canal de descendre dans la rivière qu’il va traverser dans un chenal avant de la quitter via une nouvelle écluse.

*Chenal : partie du lit de la rivière où la profondeur d’eau est suffisante pour la navigation.

*Tablier : éléments constituant l’ossature porteuse d’un pont.

La Cognardière

Au site de la Cognardière, le Canal latéral à la Loire, après son passage par le Pont-canal de Briare, se raccorde au Canal de Briare en amont de son écluse n°4.

Cette écluse est d’ailleurs aussi nommée « La Cognardière » ou « La Cogne ».

Viaduc de Port-Aubry, Cosne-sur-Loire

Pont « en poutres en treillis* », « pont-cage* » et « pont-rail* » dans le même temps, le viaduc de Port-Aubry est le plus ancien pont de la ville de Cosne-sur-Loire.

Construit entre 1890 et 1893, il traverse la Loire, large de 828 m en amont de la ville, reliant le lieu-dit Port-Aubry à Bannay (dans le Cher).

Son architecture symbolise les changements architecturaux et les innovations de la fin du XIXe siècle : tandis que les poutres verticales unissent le tablier* aux poutres supérieures, les poutres de biais renforcent la structure pour qu’elle résiste aux vents violents.

Le viaduc de Port-Aubry supporte la ligne ferroviaire de Saint-Germain-du-Puy à Cosne-sur-Loire, et est aussi surnommé « Pont du P-O » en rappel à son constructeur : la Compagnie de chemin de fer de Paris à Orléans.

*Pont en poutres en treillis : pont dont les poutres latérales sont composées de barres métalliques triangulées, assemblées en treillis.

*Pont-cage (ou pont tubulaire) : pont métallique formé d’éléments composant une poutre creuse de section rectangulaire.

*Pont-rail (ou pont ferroviaire) : pont portant une voie ferrée.

*Tablier : structure porteuse du pont.

Pont-canal de Digoin

Le Canal latéral à la Loire prend son origine à Digoin en se raccordant au Canal du Centre, avant de franchir la Loire et de se prolonger sur 196 km jusqu’à Briare. La traversée de la Loire est effectuée via le Pont-canal de Digoin, construit de 1834 à 1838.

Il s’agit d’un pont voûté en pierre de taille de 243 m de longueur. Il est composé de 11 travées séparées par 10 piliers de 9 m d’épaisseur à la base des voûtes.

Entre 1890 et 1896, il est remanié pour être mis au gabarit Freycinet* : une surélévation du couronnement* permet son approfondissement (2,30 m de profondeur : le « fond » du canal surplombe alors la Loire de 8,30 m).

*Gabarit Freycinet : norme régissant la dimension minimale des écluses de certains canaux (et par conséquent des bateaux y naviguant), afin d’harmoniser la navigation fluviale : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage de 2,20 m, hauteur libre de 3,70 m. (Loi Freycinet : 1879. Elle donne suite à de nombreux travaux de modernisation). Il s’agit aujourd’hui du gabarit européen de classe I.

*Couronnement : sur une écluse ou un quai, ensemble de gosses pierres taillées qui forment le rebord supérieur de l'ouvrage.

Pont de la Loire, Gien

Reliant les communes de Gien et Poilly-lez-Gien, situées sur deux rives opposées de la Loire, ce pont ferroviaire est parfois appelé « Viaduc de Gien », bien qu’il ne soit que de 12 m de hauteur.

Il est construit entre 1888 et 1893, et sa longueur de 1833 m cache en réalité trois ouvrages successifs :

Sur la rive droite, à Gien, s’élève un premier pont en maçonnerie de 273 m de long, composé de 15 arches en plein cintre de 16 m d’ouverture.
Il est prolongé au-dessus de la Loire par un pont métallique de 361 m, dont les sept travées sont montées sur une poutre-caisson* ajourée en treillis.
Enfin, en atteignant Poilly-lez-Gien et la rive gauche, un nouveau pont en maçonnerie de 1199 m de long est composé au total de 70 arches. Progressivement, la hauteur de ce dernier pont s’abaisse de 12 à 6 m, par des suites d’arches de hauteurs de voûtes décroissantes.

*Poutre-caisson : poutre de section creuse qui, comme un caisson, peut être munie de cloisons internes.

Pont-canal du Guétin

A proximité du Bec d’Allier (la confluence de l’Allier et de la Loire), le Canal latéral à la Loire rencontre l’Allier. Pour lui permettre de le franchir sans danger pour la navigation en cas de crue, un pont-canal est construit entre 1832 et 1835, reliant le lieu-dit Le Guétin (commune de Cuffy) et Gimouille.

D’une longueur de 343 m pour une largeur de 10,12 m, il est sectionné par 18 arches et permet la navigation d’embarcations de 50 tonnes.

De 1880 à 1890, pour répondre à l’agrandissement du Canal latéral à la Loire (selon le gabarit Freycinet*), des travaux surélèvent les parapets du Pont-canal (en portant son tirant d’eau de 1,60 m à 2,20 m) et transforment l’écluse triple* qui le prolongeait en une écluse double*.

*Gabarit Freycinet : norme régissant la dimension minimale des écluses de certains canaux (et par conséquent des bateaux y naviguant), afin d’harmoniser la navigation fluviale : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage de 2,20 m, hauteur libre de 3,70 m. (Loi Freycinet : 1879. Elle donne suite à de nombreux travaux de modernisation). Il s’agit aujourd’hui du gabarit européen de classe I.

*Ecluse double / Ecluse triple : contrairement à une écluse simple, qui ne soutient les eaux qu’à un seul niveau à la fois, elle les soutient à deux ou trois niveaux différents (grâce à plusieurs sas successifs).

Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre

La fin du XIXe siècle est une période de transformations du paysage de Ménétréol-sous-Sancerre, avec la construction du Canal latéral à la Loire et du viaduc en pierre surplombant le village et le coupant en deux.

Long de 183 m et haut de 23 m, il supporte la ligne ferroviaire reliant Bourges à Cosne-sur-Loire transportant les marchandises et matériels pour les ateliers militaires de Bourges.

Cette même ligne emprunte le viaduc de l’Etang à Sancerre et le viaduc de Saint-Satur.

Nevers

Entre 1855 et 1861 est creusé à Nevers un embranchement avec la Loire, afin de desservir les forges de la Chaussade, l’usine à gaz, la fabrique de porcelaine et la faïencerie de la ville, ainsi que les mines de houille de Decize et Blanzy, et les forges du Creusot. L’embranchement est long de 2,9 km et comporte trois écluses : l’écluse de Verville, celle de Rombois et celle de descente en Loire (l’écluse de la Jonction).

Cette dernière, écluse d’embouchure, ne subit pas de transformation durant les travaux touchant le Canal latéral à la Loire à la fin du XIXe siècle. En effet, les difficultés et frais de la traversée de la Loire mènent à une chute de la navigation et une désertion du port de Nevers, ne justifiant donc pas la mise à niveau au gabarit Freycinet* des infrastructures.

Remarque : Aujourd’hui, l’embouchure dans la Loire n’existe plus. L’écluse a été pendant un temps transformée en piscine, qui est maintenant désaffectée.

*Gabarit Freycinet : norme régissant la dimension minimale des écluses de certains canaux (et par conséquent des bateaux y naviguant), afin d’harmoniser la navigation fluviale : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage de 2,20 m, hauteur libre de 3,70 m. (Loi Freycinet : 1879. Elle donne suite à de nombreux travaux de modernisation). Il s’agit aujourd’hui du gabarit européen de classe I.

Saint-Léger-des-Vignes

De Saint-Léger-des-Vignes à Auxerre s'étend le Canal du Nivernais, reliant ainsi les bassins de la Seine et de la Loire.

Ce canal, dont l'extrémité sud était originellement prévue à Cercy-la-Tour, a été prolongé jusqu'à Saint-Léger-des-Vignes afin d'effectuer la jonction avec le Canal latéral à la Loire, à Decize.

Alors que la plus grande partie du Canal du Nivernais reste à un gabarit inférieur (gabarit Becquey*), ses extrémités, dont l’intervalle entre Saint-Léger-des-Vignes et Cercy-la-Tour, sont portées au gabarit Freycinet* à la fin du XIXe siècle. Il s’agit en réalité d’un gabarit « faux Freycinet », aux écluses de 39 m x 5,20 m, au mouillage de 1,60 m et à une hauteur libre de 2,60 m).

*Gabarit Becquey : Gabarit uniforme minimum exigé pour les écluses du réseau navigable français par une loi de 1822 : écluses de 30,40 m × 5,20 m, mouillage de 1,60 m, hauteur libre de 3 m. Il est supplanté par le gabarit Freycinet en 1879.

*Gabarit Freycinet : norme régissant la dimension minimale des écluses de certains canaux (et par conséquent des bateaux y naviguant), afin d’harmoniser la navigation fluviale : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage de 2,20 m, hauteur libre de 3,70 m. (Loi Freycinet : 1879. Elle donne suite à de nombreux travaux de modernisation). Il s’agit aujourd’hui du gabarit européen de classe I.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Viaduc de Saint-Satur

Le Canal latéral à la Loire est lié au fleuve par quatre embranchements : à Nevers, Decize, Cours-les-Barres et Saint-Satur. Ce dernier embranchement est long de 0,7 km.
A proximité, à l’époque des travaux d’agrandissement du Canal latéral à la Loire, est élevé un viaduc ferroviaire. La construction, débutée en 1891, s’achève en 1893.

L’ouvrage, long de 429 m, comporte 26 arches de pierre. Sa courbure, inhabituelle pour l’époque, nécessite la construction de piles trapézoïdales. Elles sont de plus creuses et munies de trappes d’accès.

Le viaduc est situé sur le tronçon reliant Bourges à Cosne-sur-Loire, notamment utilisé pour transporter les munitions construites à Bourges jusqu’à Toul (Meurthe-et-Moselle).

Remarque : Le viaduc est désaffecté depuis 1968 et aujourd’hui emprunté par les promeneurs.

Viaduc de l'Etang, Sancerre

Le viaduc de l’Etang (ou de « Lestang »), situé à proximité du Canal latéral à la Loire, entre les communes de Sancerre et Ménétréol-sous-Sancerre, tire son nom d’un château voisin.

Il fait partie de la série d’ouvrages réalisés à la fin du XIXe siècle (viaducs de Ménétréol-sous-Sancerre, viaduc de Saint-Satur…), permettant le passage de la ligne ferroviaire stratégique reliant les arsenaux du Sud-Ouest (ateliers d’armement de Bourges) aux lignes de front de l’Est sans passer par Paris.

Quatre piles en maçonnerie de 30 m de haut supportent la poutre-caisson* ajourée en treillis sur laquelle sont placées cinq travées métalliques longues de 232 m, soutenant les deux voies de chemin de fer.

*Poutre-caisson : poutre de section creuse qui, comme un caisson, peut être munie de cloisons internes.

Barrage à aiguilles

Le principe du barrage mobile à aiguilles est mis au point par François Poirée en 1830 : des madriers verticaux (les aiguilles, de bois, d’une section carrée de 10 cm x 10 cm et longues de 2 à 4 m) disposés en rideau s’appuient, grâce à la pression de l’eau, contre une structure métallique articulée. Celle-ci se couche au fond de la rivière lorsque les aiguilles sont ôtées (notamment en cas de crue).

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Autres barrages

Les barrages, placés en travers des rivières, permettent le maintien constant d’un mouillage (profondeur d’eau) suffisant pour la navigation.

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Canaux

Rivières artificielles, les canaux ont de multiples utilités, telles que l’irrigation, l’adduction d’eau et, ici, la navigation.

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Chantier avec rondins

À Digoin, où commence le Canal latéral à la Loire, s’achève le Canal de Roanne à Digoin. Celui-ci passe par la commune de Bourg-le-Comte [Saône-et-Loire].

À cet endroit, une des plus hautes écluses de France au gabarit Freycinet, présente une chute de 7,19 m.

Chantier du 22 juin 1892

Le 22 juin 1892, un pont est en construction…

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Autres chantiers

Canaux, ponts, écluses… De nombreux chantiers sont en cours à la fin du XIXe siècle.

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Ecluses

Les écluses, souvent rectangulaires, permettent aux bateaux de franchir un dénivelé sans quitter l’eau. Ces systèmes hydrauliques consistent en un sas fermé par deux portes entre lesquelles se place le bateau. Une entrée ou sortie d’eau permet de placer l’embarcation à la hauteur d’eau du bief* de sortie. La porte correspondante est ensuite ouverte, lui permettant de continuer sa navigation.

*Bief : section d’un cours d’eau (ou canal) entre deux écluses, chutes d’eau ou rapides.

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Embarcations

L’application de la loi Freycinet* et la mise au gabarit des écluses et canaux impliquent que les bateaux ne doivent pas dépasser 38,5 m sur 5,05 m. On parle alors de bateaux ou de péniches Freycinet.

*Gabarit Freycinet : norme régissant la dimension minimale des écluses de certains canaux (et par conséquent des bateaux y naviguant), afin d’harmoniser la navigation fluviale : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage 2,20 m, hauteur libre de 3,70 m. (Loi Freycinet : 1879. Elle donne suite à de nombreux travaux de modernisation). Il s’agit aujourd’hui du gabarit européen de classe I.

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Exposition universelle, Paris

L’exposition universelle de 1900, sous le thème « Le bilan d’un siècle », regroupe, durant 212 jours, 83 000 exposants sur une surface dix fois plus étendue que celle de l’exposition de 1855.

C’est l’occasion de présenter les modèles, plans et dessins des travaux publics de la fin du XIXe siècle.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Petit pont à huit panneaux

Nés dans les années 1820 aux Etats-Unis, nombreux ponts à poutres en treillis sont construits entre 1870 et 1930. Ils présentent l’avantage d’être faciles à transporter et à mettre en place.

Les treillis (assemblages de barres verticales, horizontales et diagonales formant des triangles) assurent la solidité du pont, qui peut alors supporter des charges importantes sans être déformé.

L’ensemble formé par deux diagonales et les éléments inférieurs et supérieurs constituent un « panneau ». Le nombre de panneaux d’un pont dépend de sa longueur.

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Passerelles piétonnes

Des ponts légers réservés aux piétons ou cyclistes, nommés « passerelles », permettent la traversée des canaux.

Le Canal latéral à la Loire et ses embranchements peuvent être franchis grâce à de tels ouvrages.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Petit pont à onze panneaux

Nés dans les années 1820 aux Etats-Unis, nombreux ponts à poutres en treillis sont construits entre 1870 et 1930. Ils présentent l’avantage d’être faciles à transporter et à mettre en place.

Les treillis (assemblages de barres verticales, horizontales et diagonales formant des triangles) assurent la solidité du pont, qui peut alors supporter des charges importantes sans être déformé.

L’ensemble formé par deux diagonales et les éléments inférieurs et supérieurs constituent un « panneau ». Selon sa longueur, un pont en comporte plus ou moins.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Petit pont à treize panneaux

Nés dans les années 1820 aux Etats-Unis, nombreux ponts à poutres en treillis sont construits entre 1870 et 1930. Ils présentent l’avantage d’être faciles à transporter et à mettre en place.

Les treillis (assemblages de barres verticales, horizontales et diagonales formant des triangles) assurent la solidité du pont, qui peut alors supporter des charges importantes sans être déformé.

L’ensemble formé par deux diagonales et les éléments inférieurs et supérieurs constituent un « panneau ». Selon sa longueur, un pont en comporte plus ou moins.

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Petit pont à quinze panneaux

Nés dans les années 1820 aux Etats-Unis, nombreux ponts à poutres en treillis sont construits entre 1870 et 1930. Ils présentent l’avantage d’être faciles à transporter et à mettre en place.

Les treillis (assemblages de barres verticales, horizontales et diagonales formant des triangles) assurent la solidité du pont, qui peut alors supporter des charges importantes sans être déformé.

L’ensemble formé par deux diagonales et les éléments inférieurs et supérieurs constituent un « panneau ». Selon sa longueur, un pont en comporte plus ou moins.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Ponts-aqueducs

Les aqueducs, canaux souterrains ou à ciel ouvert, conduisent l’eau d’un point à un autre par gravitation, c'est-à-dire en utilisant la pente du terrain (parfois avec l’aide de pompes).
Lorsqu’ils passent sur un pont, on parle de « ponts-aqueducs ». Lorsqu’ils sont utilisés pour alimenter un canal, on parle de « rigoles ».

On retrouve plusieurs constructions de ce type à proximité du Canal latéral à la Loire.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Pont surplombant un chemin de fer

Quelques ponts surplombant une voie ferrée…

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Ponts en pierres foncées

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Autres ponts

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Machineries

Les travaux de la fin du XIXe siècle sont favorisés par cette époque de Révolution industrielle aux progrès techniques fulgurants.

Vous reconnaissez une de ces photographies ?
N’hésitez pas à nous contacter
en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Remarque : Pour sélectionner une autre photographie, cliquez sur la flèche violette.

Icônes du Parcours cartographique

Flèches horizontales Regarder vers la gauche /
Regarder vers la droite
Flèches verticales S'avancer /
Se reculer
Flèches à angle droit Effectuer un quart de tour vers la gauche /
Effectuer un quart de tour vers la droite
Flèches rotatives Se rendre de l'autre côté
Loupes S'approcher /
S'éloigner
Bonhomme Observer depuis l'emplacement du personnage
Quadrilatère Changer d'angle de vue
Flèches décomposées Etape chronologique précédente /
Etape chronologique suivante

Remarque : les symboles peuvent être combinés pour offrir plus de précision :
Quadrilatère+Flèche décomposée vers la droite+Loupe moins Ex. : Etape chronologique suivante en changeant d’angle de vue et en s'éloignant

Mentions légales & crédits

Cette exposition est une réalisation des Archives départementales, service du Conseil départemental de la Nièvre.
Les mentions légales des sites principaux des Archives départementales et du Conseil départemental s’y appliquent.

Propriété littéraire et artistique

Les images des documents reproduits, sauf mention contraire, sont soumises au régime de réutilisation des données conservées aux Archives départementales de la Nièvre.

La carte est issue du fonds de la Bibliothèque nationale de France et disponible sur Gallica :
Carte routière vélocipédique de France [Document cartographique] / dressée d'après les derniers indicateurs, par A.-W. Jung,.... - Paris : E. Lanée, [1890].

Remerciements à Monsieur Bruno Vital pour son concours éclairé.

Hébergement

Cette exposition est hébergée par le Conseil départemental de la Nièvre.

Moyens techniques et réalisation

L’exposition a été intégralement développée et réalisée par Doumengette Bernès, stagiaire aux Archives départementales de la Nièvre.
Date de réalisation : août 2015.

Bibliographie indicative

Pages Internet

  • Les ponts d’Auxerre

FRANÇOIS, Alain. Les ponts. In : Auxerre : son histoire, ses monuments, ses rues pittoresques [en ligne], 2012. Disponible sur : http://auxerre.historique.free.fr/Ville/a_decouvrir_aussi/les_ponts.htm (consulté le 14/08/2015).

  • Le Canal, le Pont-canal et l’Usine élévatoire de Briare

VITAL, Bruno. Le pont-canal de Briare. In : LAMOTTE, Jean-Philippe, Les navigations fluviales [en ligne], 2014. Disponible sur : http://www.jph-lamotte.fr/files/Plais-hist_briare_pc1.htm (consulté le 14/08/2015).

Direction interrégionale du Centre-Est. Briare-Le-Canal : L’usine élévatoire [en ligne], 2010. Disponible au format PDF sur http://www.vnf.fr/vnf/img/cms/Tourisme_et_domaine/la_plaquette_briare_201009161441.pdf (consulté le 14/08/2015).

BERG, Charles. Canal de Briare. In : Histoire et patrimoine des Rivières et Canaux [en ligne], 2014. Disponible sur : http://projetbabel.org/fluvial/rica_briare-canal.htm (consulté le 14/08/2015).

  • Le Pont-canal de Digoin

Ville de Digoin. Le pont canal. In : Digoin.fr [en ligne]. Disponible sur : http://www.digoin.fr/pont-canal.html (consulté le 14/08/2015).

  • Le Pont de la Loire à Gien

Equipe IF. Inventaire Ponts et Viaducs : Pont de la Loire. In : Inventaires ferroviaires de France [en ligne]. Disponible au format PDF sur http://www.inventaires-ferroviaires.fr/pv45/45155.05Z.pdf (consulté le 14/08/2015).

  • Le Pont-canal du Guétin

UNTERFINGER, André. Le pont-canal du Guétin et l’écluse des Lorrains. In : Lieux insolites en France ou ailleurs [en ligne], 2012. Disponible sur : http://www.lieux-insolites.fr/cher/guetin/guetin.htm (consulté le 14/08/2015).

  • Le Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre

Equipe IF. Inventaire Ponts et Viaducs : Viaduc de Ménétréol. In : Inventaires ferroviaires de France [en ligne]. Disponible au format PDF sur http://www.inventaires-ferroviaires.fr/pv18/18146.01B.pdf (consulté le 14/08/2015).

  • Le Viaduc de Saint-Satur

LAPEYRE, Marion. Des inquiétudes sur l’état du viaduc. In : LeBerry.fr [en ligne], 2015. Disponible sur http://www.leberry.fr/cher/actualite/pays/cher-nord/2015/07/02/des-inquietudes-sur-l-etat-du-viaduc_11506056.html (consulté le 14/08/2015).

  • Le Viaduc de l’Etang, Sancerre

Viaduc de Lestang ou de l’Etang. In : Massif Central Ferroviaire [en ligne], 2013. Disponible sur : http://www.massifcentralferroviaire.com/fiches/fichevia.php?VARviaducsID=353 (consulté le 14/08/2015).

Sirius. Le viaduc de l’Etang, à Sancerre. In : Le blog de sirius [en ligne], 2011. Disponible sur : http://veaugues.over-blog.com/article-le-viaduc-de-l-etang-a-sancerre-90265739.html (consulté le 14/08/2015).

Equipe IF. Inventaire Ponts et Viaducs : Viaduc de l’Etang. In : Inventaires ferroviaires de France [en ligne]. Disponible au format PDF sur http://www.inventaires-ferroviaires.fr/pv18/18241.02Z.pdf (consulté le 14/08/2015).

  • La traversée en Loire de Châtillon-sur-Loire

Mairie de Châtillon-sur-Loire. L’écluse en Loire de Mantelot. In : Châtillon-sur-Loire, Loiret – France [en ligne]. Disponible sur http://www.chatillon-sur-loire.com/mantelot.php (consulté le 14/08/2015).

  • Le Canal latéral à la Loire

AMICALL. Un peu d’histoire. In : Site officiel de l’AMICALL, Association des Amis du Canal Latéral à la Loire [en ligne], 2007. Disponible sur http://www.amis-canal-loire.org/historique.htm (consulté le 14/08/2015).

Canal latéral à la Loire. In : Structurae. Disponible sur : http://structurae.info/ouvrages/canal-lateral-a-la-loire (consulté le 14/08/2015).

Ministère de la Culture et de la Communication. Canal de navigation dit canal latéral à la Loire). In : Base Architecture-Mérimée [en ligne]. Disponible sur : http://www.culture.gouv.fr/documentation/memoire/HTML/IVR24/IA18000626/index.htm (consulté le 14/08/2015).

  • Le Canal de Jonction de Nevers

Ministère de la Culture et de la Communication. Canal de navigation dit canal de jonction de Nevers (canal latéral à la Loire). In : Base Architecture-Mérimée [en ligne]. Disponible sur : http://www.culture.gouv.fr/documentation/memoire/HTML/IVR24/IA58000594/index.htm (consulté le 14/08/2015).

  • Le Canal du Nivernais

BERG, Charles. Canal du Nivernais, canal de la Cure (ou de Vermenton). In : Histoire et patrimoine des Rivières et Canaux [en ligne], 2015. Disponible sur : http://projetbabel.org/fluvial/rica_nivernais-canal.htm (consulté le 14/08/2015).

Canal du Nivernais. In : Structurae. Disponible sur : http://structurae.info/ouvrages/canal-du-nivernais (consulté le 14/08/2015).

  • Définitions

BERG, Charles. Lexique fluvial et Batelier. In : Histoire et patrimoine des Rivières et Canaux [en ligne], 2015. Disponible sur : http://projetbabel.org/fluvial/lexique.htm (consulté le 14/08/2015).

Cliquez sur la loupe, déplacez-vous sur un lieu,
et double-cliquez pour vous y rendre.

Auxerre ; Photo 1/4.
A droite : le pont Paul Bert (au-dessus de l'Yonne) et la cathédrale Saint-Etienne d'Auxerre.

Auxerre ; Photo 2/4.
A gauche : le pont Paul Bert (au-dessus de l'Yonne) et la cathédrale Saint-Etienne d'Auxerre.

Auxerre ; Photo 3/4.
Le pont de Gien, vu du pont Paul Bert.

Auxerre ; Photo 4/4.
Le pont de Gien, vu de la rive. A l'arrière-plan : le pont Paul Bert.

Pont-canal de Briare ; Photo 1/22.
Une pile de maçonnerie achevée, prête à recevoir la bâche métallique.

Pont-canal de Briare ; Photo 2/22.
Construction de la bâche métallique : les premières parties sont posées. La maison éclusière de gauche est encore en construction.
Prise de vue : Premier été.

Pont-canal de Briare ; Photo 3/22.
Construction de la bâche métallique. De chaque côté : des riveteuses.

Pont-canal de Briare ; Photo 4/22.
Le passage au-dessus de l'ancien canal, côté Briare : bief des Combles. Les corbeaux devant rigidifier la bâche et supporter les trottoirs ne sont pas encore installés.

Pont-canal de Briare ; Photo 5/22.
Construction de la bâche métallique. La moitié du côté de Briare (premier plan) est montée, les travaux se poursuivent du côté de Saint-Firmin (arrière-plan).
Prise de vue : Premier hiver.

Pont-canal de Briare ; Photo 6/22.
Les travaux continuent, notamment aux extrémités, au niveau de la jonction avec la maçonnerie. Il manque les escaliers pour atteindre la digue, les passerelles de visite sur les côtés, les candélabres et les colonnes rostrales.

Pont-canal de Briare ; Photo 7/22.
Le passage est possible pour les piétons, mais non pour les bateaux. Il manque encore les escaliers pour atteindre la digue, les passerelles de visite sur les côtés, les candélabres et les colonnes rostrales.

Pont-canal de Briare ; Photo 8/22.
Le passage au-dessus de l'ancien canal, côté Briare : bief des Combles. Les corbeaux sont installés, rigidifiant la bâche et supportant les trottoirs.

Pont-canal de Briare ; Photo 9/22.
Le pont-canal sans les candélabres, lors de la visite de l'école des Ponts et Chaussées (27 avril 1895).

Pont-canal de Briare ; Photo 10/22.
Le pont-canal sans les candélabres, lors de la visite de l'école des Ponts et Chaussées (27 avril 1895).

Pont-canal de Briare ; Photo 11/22.
Le pont-canal sans les candélabres, lors de la visite de l'école des Ponts et Chaussées (27 avril 1895).

Pont-canal de Briare ; Photo 12/22.
Le pont-canal sans les candélabres, lors de la visite de l'école des Ponts et Chaussées (27 avril 1895).

Pont-canal de Briare ; Photo 13/22.
Le pont-canal sans les candélabres, lors de la visite de l'école des Ponts et Chaussées (27 avril 1895).

Pont-canal de Briare ; Photo 14/22.
Le pont-canal terminé et en service, côté Briare. La porte de garde est à demi fermée.
Prise de vue : Deuxième été.

Pont-canal de Briare ; Photo 15/22.
Le pont-canal terminé et en service, côté Briare. La porte de garde est ouverte.
Prise de vue : Deuxième hiver.

Pont-canal de Briare ; Photo 16/22.
Le passage d'une péniche, côté Briare.
Prise de vue : Deuxième hiver.

Pont-canal de Briare ; Photo 17/22.
Une des colonnes rostrales de droite. Sur la plaque : « Pont-canal de Briare ; 1890-1894 ».

Pont-canal de Briare ; Photo 18/22.
La colonne rostrale de gauche, côté Saint-Firmin.

Pont-canal de Briare ; Photo 19/22.
La maison éclusière de droite, côté Briare, lors de la visite de l'école des Ponts et Chaussées (27 avril 1895). Sur la plaque : « Canal latéral à la Loire ; Conducteur des Ponts et Chaussées ».

Pont-canal de Briare ; Photo 20/22.
La maison éclusière de droite, côté Briare. Sur la plaque : « Canal latéral à la Loire ; Conducteur des Ponts et Chaussées ».

Pont-canal de Briare ; Photo 21/22.
Le pont-canal avec les candélabres mais sans les passerelles de visite, côté Briare.

Pont-canal de Briare ; Photo 22/22.
Les grands remblais du Canal latéral à la Loire rejoignant le Pont-canal de Briare, à Saint-Firmin-sur-Loire.

Usine élévatoire de Briare ; Photo 1/3.
L'usine élévatoire en construction lors de la visite de l'école des Ponts et Chaussées. Le plus grand bâtiment, à droite, est le bâtiment principal. Il héberge la salle des machines dans sa première partie, et se poursuit dans une seconde partie à l'arrière, où sont les chaudières et un atelier de réparation. A sa droite s'élèvera une grande cheminée en briques.

Usine élévatoire de Briare ; Photo 2/3.
L'usine élévatoire en construction lors de la visite de l'école des Ponts et Chaussées. Le plus grand bâtiment, à droite, est le bâtiment principal. Il héberge la salle des machines dans sa première partie, et se poursuit dans une seconde partie à l'arrière, où sont les chaudières et un atelier de réparation. A sa droite s'élèvera une grande cheminée en briques.

Usine élévatoire de Briare ; Photo 3/3.
Le Pont de Saint-Firmin devant l'usine élévatoire.

Châtillon-en-Bazois ; Photo 1/1.
Le château de Châtillon-en-Bazois au bord du Canal du Nivernais.

Traversée à niveau de Châtillon-sur-Loire ; Photo 1/4.
Au premier plan : le toueur nommé « Le Progrès », sorte de remorqueur équipé d'un treuil à vapeur, chargé de remonter les bateaux. Il est relié à la rive gauche de l'écluse de Mantelot par un câble ancré sur le terre-plein, afin de se tracter ou se retenir. Il porte un panneau « Système Arnodin ». A l'arrière-plan : le pont suspendu de Châtillon-sur-Loire.

Traversée à niveau de Châtillon-sur-Loire ; Photo 2/4.
Au premier plan : le toueur nommé « Le Progrès », sorte de remorqueur équipé d'un treuil à vapeur, chargé de remonter les bateaux. Il est relié à la rive gauche de l'écluse de Mantelot par un câble ancré sur le terre-plein, afin de se tracter ou se retenir. A l'arrière-plan : le pont suspendu de Châtillon-sur-Loire.

Traversée à niveau de Châtillon-sur-Loire ; Photo 3/4.
A gauche : l'écluse des Combles (la symétrique de l'écluse de Mantelot) et l'extrémité du pont suspendu de Châtillon-sur-Loire en rive droite.

Traversée à niveau de Châtillon-sur-Loire ; Photo 4/4.
Le pont suspendu de Châtillon-sur-Loire. La pile en premier plan, « pile de l'escargot », est munie d'une rampe en escargot permettant aux animaux de trait de descendre sur la digue pour hâler les bateaux.

La Cognardière ; Photo 1/1.
Le Pont-canal de la Trézée à La Cognardière, avec deux jeux de portes de garde et la maison de garde (pour s'occuper des portes et du déversoir en face).

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 1/17.
Construction de la poutre. Les premiers panneaux sont déjà posés, ainsi que le toit de l'abri mobile.
Prise de vue : 6 juillet 1892.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 2/17.
Construction de la poutre. Les premiers panneaux sont déjà posés. Seule la charpente de l'abri mobile est montée.
Prise de vue : 30 juillet 1892.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 3/17.
Construction de la poutre. Plus de la moitié est réalisée, le chantier s'approche de l'extrémité.
Prise de vue : 10 mars 1893.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 4/17.
Construction de la poutre.
Prise de vue : 10 mars 1893.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 5/17.
Construction de la poutre. Inscription sur la poutrelle métallique : « Moisant, Laurent, Savey et Cie - Paris ».
Prise de vue : 10 mars 1893.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 6/17.
Construction de la poutre. Vue à l'intérieur de l'abri mobile.
Prise de vue : 28 mars 1893.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 7/17.
Construction de la poutre. Vue à l'extérieur.
Prise de vue : 5 avril 1893.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 8/17.
Construction de la poutre. Inscription sur la poutrelle métallique : « Moisant, Laurent, Savey et Cie - Paris ».
Prise de vue : 28 mars 1893.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 9/17.
Le viaduc terminé.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 10/17.
Le viaduc terminé.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 11/17.
Vue du côté Cher (Bannay), à partir du côté Nièvre (Cosne-sur-Loire).

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 12/17.
L'extrémité du viaduc, du côté Nièvre (Cosne-sur-Loire).

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 13/17.
L'extrémité du viaduc du côté Nièvre (Cosne-sur-Loire).

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 14/17.
L'intérieur du viaduc, côté Nièvre (Cosne-sur-Loire).

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 15/17.
Construction de la poutre.
Prise de vue : 18 février 1893.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 16/17.
Construction de la poutre. Vue à l'extérieur.

Viaduc de Port-Aubry - Cosne-sur-Loire ; Photo 17/17.
Construction de la poutre. Vue à l'intérieur de l'abri mobile.
Prise de vue : 28 mars 1893.

Pont-canal de Digoin ; Photo 1/1.
Une extrémité du Pont-canal.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 1/14.
Les deux ponts en maçonnerie sont terminés : à gauche, le pont de 15 arches de la rive droite (Gien), à droite, celui de 70 arches de la rive gauche (Poilly-lez-Gien). Au milieu, le pont métallique est en construction ; une poutre est à l'eau.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 2/14.
Les deux ponts en maçonnerie sont terminés : à gauche, le pont de 70 arches de la rive gauche (Poilly-lez-Gien), à droite, celui de 15 arches de la rive droite (Gien). Au milieu, le pont métallique est en construction ; une poutre est à l'eau.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 3/14.
Les trois parties du pont sont achevées : à gauche, le pont de 70 arches de la rive gauche (Poilly-lez-Gien) ; à droite, celui de 15 arches de la rive droite (Gien) ; au milieu, le pont métallique.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 4/14.
Le pont est achevé. A gauche, le pont métallique traversant la Loire ; à droite, le pont en maçonnerie côté Gien.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 5/14.
Le pont est achevé. A gauche, le pont en maçonnerie côté Poilly-lez-Gien ; à droite, le pont métallique traversant la Loire.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 6/14.
Le pont est achevé. A gauche, le pont en maçonnerie côté Poilly-lez-Gien ; à droite, le pont métallique traversant la Loire.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 7/14.
L'extrémité du pont en maçonnerie de 1199 m du côté de Poilly-lez-Gien.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 8/14.
Le pont en maçonnerie du côté de Poilly-lez-Gien.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 9/14.
Construction du pont métallique. Une poutre est à l'eau, effondrée.
Prise de vue : 2 mars 1893.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 10/14.
Construction du pont métallique. Une poutre est à l'eau, effondrée.
Prise de vue : 2 mars 1893.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 11/14.
Construction du pont métallique. Une poutre est à l'eau, effondrée. A l'arrière-plan se trouve la rive, côté Gien.
Prise de vue : 2 mars 1893.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 12/14.
Construction du pont métallique. Une poutre est à l'eau, effondrée.
Prise de vue : 2 mars 1893.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 13/14.
Construction du pont métallique. Une poutre est à l'eau, effondrée. Vue du pont.
Prise de vue : 2 mars 1893.

Pont de la Loire - Gien ; Photo 14/14.
Construction du pont métallique. Une poutre est à l'eau, effondrée. Vue du pont.
Prise de vue : 2 mars 1893.

Pont-canal du Guétin ; Photo 1/9.
A gauche : le lieu-dit Le Guétin (commune de Cuffy). A l'arrière-plan : le pont suspendu de Saincaize-le-Guétin.

Pont-canal du Guétin ; Photo 2/9.
Le pont-canal vu de la rive de Cuffy (Le Guétin).

Pont-canal du Guétin ; Photo 3/9.
Le pont-canal vu de la rive de Cuffy (Le Guétin).

Pont-canal du Guétin ; Photo 4/9.
L'ancienne écluse triple, dorénavant écluse double.

Pont-canal du Guétin ; Photo 5/9.
La transformation de l'écluse triple en écluse double.

Pont-canal du Guétin ; Photo 6/9.
La transformation de l'écluse triple en écluse double.

Pont-canal du Guétin ; Photo 7/9.
La transformation de l'écluse triple en écluse double.

Pont-canal du Guétin ; Photo 8/9.
Les murs de l'écluse triple sont en travaux pour la transformation en écluse double.

Pont-canal du Guétin ; Photo 9/9.
Les murs de l'écluse sont terminés.

Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre ; Photo 1/7.
Le viaduc en construction. Les premiers piliers et premiers arches sont montés ; au premier plan, d'autres piliers sont en construction, tandis que les arches du milieu prennent forme.
Prise de vue : 30 mai 1892.

Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre ; Photo 2/7.
Le viaduc en construction. Les dernières arches se terminent.
Prise de vue : 30 juillet 1892.

Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre ; Photo 3/7.
Le viaduc en construction. Achèvement de la dernière arche.

Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre ; Photo 4/7.
Le viaduc en construction. Une grue subsiste.

Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre ; Photo 5/7.
Le viaduc terminé.

Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre ; Photo 6/7.
Le viaduc terminé.
Prise de vue : 18 février 1893.

Viaduc de Ménétréol-sous-Sancerre ; Photo 7/7.
Le viaduc terminé. En arrière-plan, le chantier de la voie ferrée est encore en cours.
Prise de vue : 18 février 1893.

Nevers ; Photo 1/1.
Vue de Nevers de la Loire. Au centre : le Palais ducal.

Saint-Léger-des-Vignes ; Photo 1/3.

Saint-Léger-des-Vignes ; Photo 2/3.

Saint-Léger-des-Vignes ; Photo 3/3.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 1/18.
Le viaduc en construction. Deux premières arches sont presque achevées, trois prennent forme.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 2/18.
Le viaduc en construction. A gauche, des piles se montent.
Prise de vue : 6 juillet 1892.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 3/18.
Le viaduc en construction. Trois arches sont terminées, trois prennent forme, les deux piles suivantes sont déjà montées et deux autres sont en cours.
Prise de vue : 6 juillet 1892.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 4/18.
Le viaduc en construction. Cinq arches sont terminées, quatre prennent forme et au moins quatre piles sont en cours.
Prise de vue : 30 juillet 1892.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 5/18.
Le chantier sous le viaduc en construction.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 6/18.
Le viaduc en construction : les extrémités semblent achevées, le milieu se poursuit.
Prise de vue : 25 septembre 1892.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 7/18.
Le viaduc en construction : les extrémités semblent achevées, le milieu se poursuit.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 8/18.
Le viaduc en construction : les extrémités semblent achevées, le milieu se poursuit.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 9/18.
La partie en maçonnerie est terminée.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 10/18.
La partie en maçonnerie est terminée.
Prise de vue : 28 mars 1893.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 11/18.
La partie en maçonnerie est terminée.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 12/18.
La partie en maçonnerie est terminée. Les rails ne sont pas encore posés.
Prise de vue : 5 avril 1893.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 13/18.
La partie en maçonnerie est terminée.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 14/18.
La partie en maçonnerie est terminée.
Prise de vue : 5 avril 1893.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 15/18.
Le viaduc en construction. Tandis que les premières arches prennent forme, à droite l'élévation des piles suivantes est en cours.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 16/18.
Le viaduc en construction. A gauche, sept arches sont terminées, quatre sont en cours ainsi qu'au moins sept piles.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 17/18.
Le viaduc en construction. Vue du haut d'un échafaudage.

Viaduc de Saint-Satur ; Photo 18/18.
Les ouvriers attablés au pied du viaduc. Les drapeaux français laissent supposer une commémoration nationale.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 1/9.
Le viaduc en construction. Les premiers échafaudages sont posés.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 2/9.
Le viaduc en construction. Les premières poutrelles métalliques sont en installation.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 3/9.
Le viaduc en construction. La poutre est en installation entre les deux premières piles de maçonnerie.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 4/9.
Le viaduc en construction. La poutre atteint la troisième pile.
Prise de vue : 18 février 1893.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 5/9.
Le viaduc en construction. La poutre atteint la troisième pile.
Prise de vue : 18 février 1893.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 6/9.
Le viaduc en construction. La poutre est complète. Les premiers échafaudages (à droite) ont été démontés.
Prise de vue : 5 avril 1893.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 7/9.
Le viaduc en construction. La poutre est complète. Les premiers échafaudages (à gauche) ont été démontés.
Prise de vue : 5 avril 1893.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 8/9.
Le viaduc terminé.

Viaduc de l’Etang - Sancerre ; Photo 9/9.
La poutre en treillis et le tablier vus de dessous.

Barrage à aiguilles ; Photo 1/6.
A l'arrière-plan : un pont à bâche métallique. Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Barrage à aiguilles ; Photo 2/6.
Le même barrage que sur les photos 3, 4, 5 et 6.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Barrage à aiguilles ; Photo 3/6.
Le même barrage que sur les photos 2, 4, 5 et 6.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Barrage à aiguilles ; Photo 4/6.
Le même barrage que sur les photos 2, 3, 5 et 6.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Barrage à aiguilles ; Photo 5/6.
Le même barrage que sur les photos 2, 3, 4 et 6.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Barrage à aiguilles ; Photo 6/6.
Le même barrage que sur les photos 2, 3, 4 et 5.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Barrage ; Photo 1/4.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Barrage ; Photo 2/4.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Barrage ; Photo 3/4.
Vue générale du nouveau pertuis (ouvrage ancêtre de l'écluse) d'Arcy, sur la Cure [Yonne].

Barrage ; Photo 4/4.
Probablement le barrage de Grosbois [Côte-d'Or].
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Canal ; Photo 1/15.
Construction d'une cuvette maçonnée pour deux voies de bateau au dessus des grands remblais d'Artaix. Vue intérieure. (Le même site que les photos 2, 3, 4, 5, 6, 7 et 8.)

Canal ; Photo 2/15.
Construction d'une cuvette maçonnée pour deux voies de bateau au dessus des grands remblais d'Artaix. Vue intérieure. (Le même site que les photos 1, 3, 4, 5, 6, 7 et 8.)

Canal ; Photo 3/15.
Construction d'une cuvette maçonnée pour deux voies de bateau au dessus des grands remblais d'Artaix. Vue intérieure. (Le même site que les photos 1, 2, 4, 5, 6, 7 et 8.)

Canal ; Photo 4/15.
Construction d'une cuvette maçonnée pour deux voies de bateau au dessus des grands remblais d'Artaix. Vue intérieure. (Le même site que les photos 1, 2, 3, 5, 6, 7 et 8.)

Canal ; Photo 5/15.
Construction d'une cuvette maçonnée pour deux voies de bateau au dessus des grands remblais d'Artaix. Vue intérieure. (Le même site que les photos 1, 2, 3, 4, 6, 7 et 8.)

Canal ; Photo 6/15.
Construction d'une cuvette maçonnée pour deux voies de bateau au dessus des grands remblais d'Artaix. Vue extérieure. (Le même site que les photos 1, 2, 3, 4, 5, 7 et 8.)

Canal ; Photo 7/15.
Construction d'une cuvette maçonnée pour deux voies de bateau au dessus des grands remblais d'Artaix. Vue extérieure. (Le même site que les photos 1, 2, 3, 4, 5, 6 et 8.)

Canal ; Photo 8/15.
Construction d'une cuvette maçonnée pour deux voies de bateau au dessus des grands remblais d'Artaix. Vue extérieure. (Le même site que les photos 1, 2, 3, 4, 5, 6 et 7.)

Canal ; Photo 9/15.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Canal ; Photo 10/15.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Canal ; Photo 11/15.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Canal ; Photo 12/15.
Creusement du canal sous le Pont des Chailloux (Saint-Firmin-sur-Loire).

Canal ; Photo 13/15.
Même site que pour les photos 14 et 15.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Canal ; Photo 14/15.
Même site que pour les photos 13 et 15.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Canal ; Photo 15/15.
Même site que pour les photos 13 et 14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier à rondins ; Photo 1/5.
Chantier à Bourg-le-Comte. Le même chantier pour toutes les photos de la rubrique.

Chantier à rondins ; Photo 2/5.
Chantier à Bourg-le-Comte. Le même chantier pour toutes les photos de la rubrique.

Chantier à rondins ; Photo 3/5.
Chantier à Bourg-le-Comte. Le même chantier pour toutes les photos de la rubrique.

Chantier à rondins ; Photo 4/5.
Chantier à Bourg-le-Comte. Le même chantier pour toutes les photos de la rubrique.

Chantier à rondins ; Photo 5/5.
Chantier à Bourg-le-Comte. Le même chantier pour toutes les photos de la rubrique.

Chantier du 22 juin 1892 ; Photo 1/3.
Le même chantier pour toutes les photos de la rubrique.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier du 22 juin 1892 ; Photo 2/3.
Le même chantier pour toutes les photos de la rubrique.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier du 22 juin 1892 ; Photo 3/3.
Le même chantier pour toutes les photos de la rubrique.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 1/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 2/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 3/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 4/14.
Le même chantier que sur la photo 5.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 5/14.
Le même chantier que sur la photo 4.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 6/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 7/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 8/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 9/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 10/14.
Fouilles d'une villa gallo-romaine à Gannes (Beaulieu-sur-Loire). (Le même site que sur les photos 11 et 12.)

Chantier ; Photo 11/14.
Fouilles d'une villa gallo-romaine à Gannes (Beaulieu-sur-Loire). (Le même site que sur les photos 10 et 12.)

Chantier ; Photo 12/14.
Fouilles d'une villa gallo-romaine à Gannes (Beaulieu-sur-Loire). (Le même site que sur les photos 10 et 11.)

Chantier ; Photo 13/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Chantier ; Photo 14/14.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Ecluse ; Photo 1/13.
Canal de Roanne à Digoin : dérivation et nouvelle écluse à grande chute (6 m de chute). En construction. (Le même site que sur les photos 2, 3, 4, 5, 6 et 7.)

Ecluse ; Photo 2/13.
Canal de Roanne à Digoin : dérivation et nouvelle écluse à grande chute (6 m de chute). En construction. (Le même site que sur les photos 1, 3, 4, 5, 6 et 7.)

Ecluse ; Photo 3/13.
Canal de Roanne à Digoin : dérivation et nouvelle écluse à grande chute (6 m de chute). En construction. (Le même site que sur les photos 1, 2, 4, 5, 6 et 7.)

Ecluse ; Photo 4/13.
Canal de Roanne à Digoin : dérivation et nouvelle écluse à grande chute (6 m de chute). En construction. (Le même site que sur les photos 1, 2, 3, 5, 6 et 7.)

Ecluse ; Photo 5/13.
Canal de Roanne à Digoin : dérivation et nouvelle écluse à grande chute (6 m de chute). Terminée, portes fermées. (Le même site que sur les photos 1, 2, 3, 4, 6 et 7.)

Ecluse ; Photo 6/13.
Canal de Roanne à Digoin : dérivation et nouvelle écluse à grande chute (6 m de chute). Terminée, portes ouvertes pour laisser passer une péniche. (Le même site que sur les photos 1, 2, 3, 4, 5 et 7.)

Ecluse ; Photo 7/13.
Canal de Roanne à Digoin : dérivation et nouvelle écluse à grande chute (6 m de chute). Fondation. Prise de vue : août 1897. (Le même site que sur les photos 1, 2, 3, 4, 5 et 6.)

Ecluse ; Photo 8/13.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Ecluse ; Photo 9/13.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Ecluse ; Photo 10/13.
L'écluse de Mantelot (Châtillon-sur-Loire). (Même site que sur la photo 11.)

Ecluse ; Photo 11/13.
L'écluse de Mantelot (Châtillon-sur-Loire). (Même site que sur la photo 10.)

Ecluse ; Photo 12/13.
La sortie de l'écluse des Lorrains (Le Guétin), avec l'inscription « 1854 » sur la rembarde de la porte. La maison éclusière à l'arrière-plan. (Même site que la photo 13.)

Ecluse ; Photo 13/13.
La sortie de l'écluse des Lorrains (Le Guétin), écluse ronde. La maison éclusière à l'arrière-plan. (Même site que la photo 12.)

Embarcation ; Photo 1/1.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 1/13.
Le pont Alexandre III.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 2/13.
A gauche : le Palais des Forêts, Chasse, Pêche, Cueillettes. Au milieu : le « Grand globe céleste de Paris ». A droite : le Service des Eaux.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 3/13.
Le Petit Palais.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 4/13.
Le Palais des Mines et de la métallurgie.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 5/13.
L'exposition dédiée à la Pêche.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 6/13.
Au premier plan : la maquette du Pont-canal de Briare. A l'arrière-plan : des plans du Ministère des travaux publics.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 7/13.
Au premier plan : la maquette du Port du Canal de Roanne (présentée sur la photo 13). Derrière : la maquette du Pont-canal de Briare. A l'arrière-plan : des plans du Ministère des travaux publics.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 8/13.
Sur le mur de droite : une photo du Pont-canal de Briare. Sur le mur du fond : une photo du Pont-canal du Guétin.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 9/13.
Sur le mur du fond : une photo du Vieux Nevers, et des photos du Canal latéral à la Loire et du canal du Nivernais.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 10/13.
Les plans du Pont-canal de Briare.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 11/13.
La maquette du Pont-canal de Briare.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 12/13.
La maquette du Pont-canal de Briare.

Exposition universelle de 1900 ; Photo 13/13.
La maquette du Port du Canal de Roanne (qui sera exposée dans la même pièce que la maquette du Pont-canal de Briare (photos 6, 7 et 8).

Passerelle piétonne ; Photo 1/2.
Passerelle piétonne de Mantelot (Châtillon-sur-Loire).

Passerelle piétonne ; Photo 2/2.
Passerelle piétonne de La Cognardière (Briare).

Pont en treillis à 8 panneaux ; Photo 1/4.
Même pont pour toutes les photos de la rubrique. En construction.
Prise de vue : 18 février 1893.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont en treillis à 8 panneaux ; Photo 2/4.
Même pont pour toutes les photos de la rubrique. Les travaux sont terminés, une grue subsiste.
Prise de vue : 15 avril 1893.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont en treillis à 8 panneaux ; Photo 3/4.
Même pont pour toutes les photos de la rubrique. Les travaux sont terminés, la grue a été enlevée.
Prise de vue : 15 avril 1893.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont en treillis à 8 panneaux ; Photo 4/4.
Même pont pour toutes les photos de la rubrique. Les travaux sont terminés.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont en treillis à 11 panneaux ; Photo 1/7.
De gauche à droite : l'ancien et le nouveau Pont de Gannes (Beaulieu-sur-Loire).

Pont en treillis à 11 panneaux ; Photo 2/7.
Le Pont de l'Etang et l'écluse de l'ancienne branche du Canal latéral à la Loire (Beaulieu-sur-Loire). (Même site que sur les photos 3 et 4). A gauche : une maison éclusière et un pont en pierres au dessus de l'ancienne porte de garde. A droite : un pont en treillis sous lequel le canal est creusé et une porte de garde est installée. A l'arrière-plan : des habitations.

Pont en treillis à 11 panneaux ; Photo 3/7.
Le Pont de l'Etang et l'écluse de l'ancienne branche du Canal latéral à la Loire (Beaulieu-sur-Loire). (Même site que sur les photos 2 et 4). A gauche : la porte de garde du pont en pierres est fermée. A droite : le pont en treillis sous lequel le canal a fini d'être creusé. A l'arrière-plan : des habitations.

Pont en treillis à 11 panneaux ; Photo 4/7.
Le Pont de l'Etang et l'écluse de l'ancienne branche du Canal latéral à la Loire (Beaulieu-sur-Loire). (Même site que sur les photos 2 et 3). A gauche : le pont en treillis et sa porte de garde sont terminés. A droite : des travaux sont en cours sur l'écluse du pont en pierres.

Pont en treillis à 11 panneaux ; Photo 5/7.
Le Pont de Beauregard (Saint-Firmin-sur-Loire), dont les portes de garde sont fermées.

Pont en treillis à 11 panneaux ; Photo 6/7.
Le Pont des Chailloux (Saint-Firmin-sur-Loire), qui ne possède pas de porte de garde.

Pont en treillis à 11 panneaux ; Photo 7/7.
Le Pont de La Motte (Saint-Firmin-sur-Loire) dont les portes de garde sont ouvertes.

Pont en treillis à 13 panneaux ; Photo 1/2.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont en treillis à 13 panneaux ; Photo 2/2.
Pont de la Folie (Châtillon-sur-Loire), avec, à droite, l'écluse de l'ancienne branche du Canal latéral à la Loire (écluse de la Folie).

Pont en treillis à 15 panneaux ; Photo 1/3.
Le Pont du Canal (Châtillon-sur-Loire). En construction. (Même site que les photos 2 et 3).

Pont en treillis à 15 panneaux ; Photo 2/3.
Le Pont du Canal (Châtillon-sur-Loire). En construction. (Même site que les photos 1 et 3).

Pont en treillis à 15 panneaux ; Photo 3/3.
Le Pont du Canal (Châtillon-sur-Loire) avec, à l'arrière plan, le Pont des Hautes Rives. (Même site que les photos 1 et 2.)

Pont-aqueduc ; Photo 1/4.
Le pont-aqueduc de la rivière l'Ethelin (Châtillon-sur-Loire), en construction. Il empêchera les crues de Loire de remonter dans le village par la rivière.(Même site que sur les photos 2 et 3.)

Pont-aqueduc ; Photo 2/4.
Le pont-aqueduc de la rivière l'Ethelin (Châtillon-sur-Loire), en construction. Il empêchera les crues de Loire de remonter dans le village par la rivière.(Même site que sur les photos 1 et 3.)

Pont-aqueduc ; Photo 3/4.
Le pont-aqueduc de la rivière l'Ethelin (Châtillon-sur-Loire), empêchant les crues de Loire de remonter dans le village par la rivière. (Même site que sur les photos 1 et 2.)

Pont-aqueduc ; Photo 4/4.
Le pont-aqueduc de la rivière de Trappes, au site de l'écluse de l'Etang (Beaulieu-sur-Loire).

Pont surplombant une voie ferrée ; Photo 1/7.
Même pont que pour les photos 2, 3, 4 et 5. En construction, vu de l'autre côté.
Prise de vue : 6 juillet 1892.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont surplombant une voie ferrée ; Photo 2/7.
Même pont que pour les photos 1, 3, 4 et 5.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont surplombant une voie ferrée ; Photo 3/7.
Même pont que pour les photos 1, 2, 4 et 5.
Prise de vue : 15 avril 1893.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont surplombant une voie ferrée ; Photo 4/7.
Même pont que pour les photos 1, 2, 3 et 5.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont surplombant une voie ferrée ; Photo 5/7.
Même pont que pour les photos 1, 2, 3 et 4.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont surplombant une voie ferrée ; Photo 6/7.
Même pont que sur la photo 7, avant la pose des rails.
Prise de vue : 20 octobre 1892.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont surplombant une voie ferrée ; Photo 7/7.
Même pont que sur la photo 6, les rails sont posés.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont en pierres foncées ; Photo 1/2.
Prise de vue : 5 avril 1893.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont en pierres foncées ; Photo 2/2.
Prise de vue : 5 avril 1893.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont ; Photo 1/8.
Même pont que sur la photo 2, vu de l'autre côté.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont ; Photo 2/8.
Même pont que sur la photo 1, vu de l'autre côté.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont ; Photo 3/8.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont ; Photo 4/8.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont ; Photo 5/8.
Deux ponts successifs : celui de gauche avec des barrières, celui de droite à poutres en treillis.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont ; Photo 6/8.
Un pont surplombant une écluse en construction.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont ; Photo 7/8.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Pont ; Photo 8/8.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.

Machinerie ; Photo 1/2.
Le tableau électrique et deux dynamos de l'usine électrique du Pont-canal de Briare.

Machinerie ; Photo 2/2.
Vous reconnaissez cette photographie ? N’hésitez pas à nous contacter en nous indiquant sa rubrique et son numéro.